Discret en début de soirée, il devient omniprésent au fur et à mesure que la nuit avance. Et il a pour mission de vous faire danser. Même Pépé Georges va devoir s’y coller. Si, si, Pépé. Y’a pas de raison.
Personnes du troisième âge, jeunes, récalcitrants du pas de danse chaloupé, votre rédactrice a dit tout le monde !
Et vous, vous croyez y échapper ?
Bien sûr que non. Vous allez même montrer l’exemple avec votre tout nouveau mari.
Autant bien choisir votre DJ alors, non ?
Vous imaginez s’il vous colle du Mickaël Jackson comme ouverture de bal en prenant un air dégagé, style « allez, la Mariée, un moonwalk ! »
Les risques du métier. (Quoique si ça se trouve, vous éblouiriez toute la salle avec votre déhanché et votre chorégraphie improvisée sur le grand Mickaël).
Et puis le DJ, c’est aussi celui qui anime les jeux. Et là, attention.
Ce n’est pas comme avec des gosses où l’obtention du BAFA certifie une certaine qualité de l’animation. Non. Le DJ est un agitateur de bonne humeur, il redonne aux adultes leurs souvenirs d’enfants et les invite à abandonner leurs carcans pour se muer en joyeux drilles.
Du coup, autant lui faire passer un test avant de l’engager. Petit conseiller de votre rédactrice, qui parle par expérience.
Le DJ doit aussi amuser la salle, la distraire, lui faire oublier qu’elle a mangé trop de profiteroles et qu’elle doit maintenant se bouger les miches pour perdre les calories. Et croyez-en Drôle de Plume, sur ce point-là, il y a du boulot.
Parce qu’après un bon repas, toute la salle n’a qu’une envie : dormir.
Vous l’aurez compris, le DJ, il doit assurer.
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